Germanica n°61. Le conte comme esthétique et stratégie du détour dans la littérature et le cinéma
Nombre de pages : 182
Format : 16x24 cm
- ISBN : 978-2-913857-40-7
- ISSN : 0984-2632F
- Publication date : 12/2017
Description
Introduction (Andrée Lerousseau) | L’inimaginable délice de mourir. Hofmannsthal, Hesse et le conte merveilleux (Patrick Bergeron) | « Jean le Chanceux patauge dans le sang » - « Figures renversées » du conte dans Le Nazi et le Barbier d’Edgar Hilsenrath (Andrée Lerousseau) | La régression comme double stratégie du détour et du retour dans Kali, eine Vorwintergeschichte de Peter Handke (Gauthier Labarthe) | Wie ich mir das Glück vorstelle de Martin Kordic et l’esthétique du conte (Emmanuelle Aurenche-Beau) | Deux contes du théâtre d’ombres : à propos du Montreur d’ombres d’Arthur Robison (1923) (Tamara Eble) | « Je n’ai jamais eu aucun lien réel avec le romantisme allemand » (W. Herzog). Notes sur Les Nains aussi ont commencé petits (Jeremy Hamers et Lison Jousten) | « L’ombre d’une corne de taureau » ou le conte de L’Enfant obstiné chez Alexander Kluge (Maguelone Loublier) | Actualité littéraire : Lukas Bärfuss – Gertrud Leutenegger – Doron Rabinovici | (Re)lectures : Eine erhellende Engführung von Leben und Werk. Irene Heidelberger-Leonards poetologische Kertész-Biographie (Hans Höller) | Comptes rendus de lecture