Germanica n°42. Entre anamnèse et amnésie – la littérature pour dire le passé nazi
Nombre de pages : 278
Format : 16x24
- ISBN : 978-2-913857-21-6
- ISSN : 0984-2632F
- Date de publication : 06/2008
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Description
Avant-propos (Martine Benoit) | En République Fédérale d’Allemagne : Eine fremde Welt: H. G. Adler, Eine Reise (Ruth Vogel-Klein) | La génération de 68 et le passé des pères : entre accusation et identification inconsciente ? (Christine Schmider) | D’Inferno à la Dante-Prosa : Peter Weiss et l’« enfer » ouest-allemand (André Combes) | Anamnèse et provocation : le discours pro-nazi de Hans Grimm après la Deuxième Guerre mondiale (Pierre Vaydat) | En République Démocratique Allemande : L’écriture de la guerre en RDA dans les années cinquante. L’exemple de Franz Fühmann (Carola Hähnel-Mesnard) | La confrontation littéraire au passé national-socialiste dans le contexte de la RDA des années 1960. L’exemple de Klaus Schlesinger (Daniel Argelès) | La Shoah/leurres et faux-semblants du « socialisme réel » - Jurek Becker, Der Boxer (1976) (Martine Benoit) | En Autriche : Bewältigungsinstrument Anti-Heimatliteratur (Ingeborg Rabenstein-Michel) | L’hybridation narrative au service du débat sur le nazisme dans Die Wolfshaut (1960) de Hans Lebert (Hélène Barrière) | Ernst Jandl : travail langagier et mémoire politique (Elisabeth Kargl) | „’Wien ist die schönste Stadt der Welt’ sagte ein Zagreber Kostümmann zu mir, derweil er mir den Judenstern provisorisch am Mantel befestigt.“ – Die Darstellung der Juden im Wien der achtziger Jahre in Robert Schindels Roman Gebürtig (Alfred Strasser) | La mémoire à vif de deux survivantes : Ilse Aichinger et Lenka Reinerová (Brigitte Desbrière-Nicolas) | Compte rendu de lecture